12 août 2009

The Hubble Ultra Deep Field in 3D

24 décembre 2008

Les Ailes Pourpres, musique de The Cinematic Orchestra

Les Ailes pourpres : le mystère des flamants
Vidéo envoyée par baryla

Bande son de The Cinematic Orchestra

29 janvier 2008

INLAND EMPIRE bande annonce VOSTFR

25 janvier 2008

Le changement climatique encore plus rapide que prévu

"Le changement climatique s'impose encore plus rapidement que ne le laissaient prévoir les prévisions les plus pessimistes, a averti jeudi l'ancien vice-président américain Al Gore, Prix Nobel de la Paix 2007.
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De récentes observations révèlent que "la crise climatique est nettement plus grave et rapide que ne l'ont montré les projections les plus inquiétantes du Groupe intergouvernemental d'experts sur le climat (Giec)", a déclaré M. Gore devant le Forum économique mondial de Davos (Suisse).

Certaines projections montrent désormais que la banquise pourrait entièrement disparaître au Pôle Nord d'ici cinq ans, a-t-il rapporté."

Et aussi ...

"La fonte des glaces s'est accélérée de 75% en dix ans le long des côtes du continent antarctique, atteignant en 2006 quelque 192 milliards de mètres cubes, une quantité suffisante pour noyer sous 4,6 mètres d'eau l'ensemble des Pays-Bas, selon une étude publiée dimanche dans la revue Nature Geoscience.

Cette fonte des glaces est concentrée en aval des glaciers sur l'ouest du continent (132 milliards de m3 avec une marge d'erreur de plus ou moins 60 milliards) et la péninsule antarctique (60 milliards de m3 avec plus ou moins 46 milliards de m3 de marge d'erreur), ont constaté Eric Rignot, du Jet Propulsion Laboratory de la NASA et son équipe internationale de chercheurs.

Sur l'est du continent, en revanche, la calotte glaciaire est restée stable.

Etalée sur l'ensemble de la surface des océans, la fonte de 192 milliards du mètres cubes de glace représente une élévation supplémentaire annuelle de 0,5 millimètre du niveau des mers, qui s'ajoute à la hausse due à l'expansion thermale, une masse d'eau étant plus volumineuse si elle est chaude.

"Les pertes de masse (de glace) dans la région d'Amundsen et le nord de la péninsule sont provoquées par une accélération persistante (des glaciers), alors que le niveau d'enneigement a augmenté entre 1980 et 2004, en particulier dans la péninsule", selon l'étude.

Les chercheurs ont utilisé des mesures prises par satellites couvrant 85% de la côte du continent antarctique.

Les experts internationaux sur le climat (Giec) ont, dans leur dernier rapport officiel remis en 2007, renoncé à extrapoler la hausse maximale du niveau des océans à la fin du siècle, du fait des incertitudes pesant sur la rapidité de la fonte des glaces du Groenland et de l'Antarctique.

L'élévation minimale a été fixée à 18 centimètres jusqu'à la fin du siècle par le Giec, qui a renoncé à fixer une limite maximum, auparavant fixée à 59 centimètres. Selon une étude de novembre du Climate Institute australien, le niveau des mers pourrait monter en cent ans de 1,40 mètre.

Le réchauffement du pôle Nord est deux fois plus rapide que celui de l'ensemble de la planète. Les glaces de la région arctique, près du pôle nord, ont fondu à un rythme sans précédent l'an dernier, et le phénomène devrait s'amplifier du fait de la diminution de la réflexion des rayons du soleil sur la neige et la glace (albédo)."

Source : Yahoo ! Environnement et AFP.

21 novembre 2007

Pour ban Ki-Moon au sujet des changements climatiques

NEW YORK (Nations Unies), 19 novembre (XINHUA) -- Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a indiqué ce week-end que les changements observés de l'Antarctique à l'Amazonie sont aussi effrayants qu'un film de science-fiction, a rapporté le centre de nouvelles de l'ONU.

M. Ban a tenu ces propos samedi lors du lancement du quatrième rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (IPCC) à Valence, en Espagne.

Le secrétaire général de l'ONU a affirmé qu'au cours de ses récentes visites, des glaciers de l'Antarctique aux forêts tropicales de l'Amazonie, il avait vu des modifications causées par les changements climatiques "aussi effrayantes que dans un film de science-fiction, mais plus terrifiantes parce qu'elles sont réelles".

M. Ban a souligné que le rapport de synthèse rassemble les points clefs des milliers de pages des rapports du Groupe de travail.

Ces rapports précéde Les gouvernements chinois et algérien ont signé lundi à Alger deux documents de coopération, fruits des relations d'amitié et de coopération de longue date entre les deux pays. nts traitaient des éléments scientifiques, de la question des "conséquences, adaptation et vulnérabilité" et de la "lutte contre les changements climatiques".

"Il contient un message principal : il existe à portée de main des moyens réels de lutter" contre ce phénomène, a souligné le secrétaire général.

Ce dernier a souhaité que la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques de Bali qui se tiendra le mois prochain fournisse l'occasion d'apporter des réponses politiques aux conclusions des scientifiques.

"A Bali, tâchons de ne pas se rejeter mutuellement la responsabilité mais plutôt de trouver des points d'entente", a-t- il dit.

Rapport du GIEC à Valence

VALENCE (AFP) Par Emmanuel ANGLEYS - Les experts du changement climatique mettent en garde les dirigeants de la planète contre ses conséquences "soudaines", voire "irréversibles", à deux semaines d'une conférence clé des Nations unies sur le climat à Bali.

Le Groupe intergouvernemental sur le climat (Giec, mandaté par l'Onu), Prix Nobel de la Paix en 2007, a bouclé vendredi à Valence en Espagne le dernier volet de son quatrième rapport, une somme de référence pour les cinq prochaines années qui sert à fonder la riposte de la communauté internationale aux dérèglements du climat.

Le rapport devait être officiellement approuvé samedi matin à Valence en présence du secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon, qui a inscrit la lutte contre le changement climatique en haut de son agenda. Il avait convoqué en septembre un sommet de chefs d'Etat et de gouvernement à New York.

Dans un résumé rédigé "à l'attention des décideurs", négocié depuis lundi, le Giec reprend l'essentiel de ses conclusions publiées en trois volets depuis janvier: le changement climatique est dû avec une quasi-certitude à l'homme, la hausse de température pourrait atteindre jusqu'à 6,4 degrés en 2100 par rapport à 1990 - plus sûrement se situer entre 1,8 et 4 degrés - et canicules, sécheresses et inondations devraient se multiplier.

Enfin, les conséquences de ces changements risquent d'être "soudaines ou irréversibles", insistent les experts.

Cette seule phrase a fait l'objet d'intenses discussions: certains pays comme les Etats-Unis ont contesté l'expression "irréversible", dénuée de contenu scientifique, selon un participant. D'autres en revanche, notamment européens, ont insisté pour la conserver, estimant qu'elle traduisait la réalité.

Ainsi, a fait valoir à l'AFP le chef de la délégation française, Marc Gillet, la disparition des ours blancs serait un phénomène irréversible: "On ne pourrait plus revenir en arrière". Mais le changement climatique pourrait aussi avoir des conséquences soudaines, ou abruptes, comme un bouleversement de la circulation des océans, voire un blocage du Gulf Stream, a-t-il ajouté.

La délégation américaine a également combattu - mais en vain - une phrase stipulant que "tous les pays" seront affectés .

"Les Etats-Unis ne voulaient pas non plus mentionner les ouragans à cause de Katrina: on ne parle pas de corde dans la maison d'un pendu!" a remarqué un négociateur. Et l'Arabie Saoudite a manoeuvré "pour minimiser ce qui pourrait se traduire par une baisse de la demande de pétrole".

"C'était important de délivrer le message selon lequel tout le monde est vulnérable et pas seulement les pays en voie de développement", a renchéri un participant.

Plusieurs scientifiques ont jugé ces dernières semaines ce rapport déjà "dépassé" par les observations de terrain: pas d'accord, ont répondu les climatologues français Jean Jouzel et Michel Petit.

"C'est vrai qu'on a observé récemment que la glace fond plus rapidement dans l'Arctique, mais est-ce un phénomène passager, un cycle naturel ou une tendance à long terme? Attendons un peu pour le savoir", a fait remarquer M. Petit.

Le Giec fait valoir que les impacts du réchauffement, annoncés dans ses précédents rapports, sont déjà bien visibles, comme le retrait des glaciers, la fonte de la banquise en Arctique ou celle du permafrost (sols gelés en permanence).

Cet état des lieux devrait peser dans les négociations qui s'engagent à partir du 3 décembre à Bali, en Indonésie, où la communauté internationale doit commencer à négocier les suites à donner au protocole de Kyoto, dont la première phase d'engagements expire en 2012.

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